xXx Première rencontre xXx

Messages : 80 Date d'inscription : 30/07/2007

Jaliska pédalait à toute vitesse sur son vélo. Elle avait hâte d’arriver aux Ecuries Love Dragibus. Prise dans sa course, elle manqua de se faire renverser par une voiture, qui passait dans le coin. Elle s’excusa rapidement, puis reprit son chemin. Elle arriva alors devant un grand portail de fer forgé. Elle s’arrêta, et regarda à travers celui-ci. Une ambiance de centre équestre régnait. Des hénnissements, des bruits de sabots, une petite agitation, des chevaux débarquant ou embarquant dans des vans… Elle descendit de son vélo, et poussa le portail. Elle se sentait étrange… Une sensation inexplicable l’envahie. Rapidement, elle farfouilla dans sa poche, et en sorti un petit papier.
« Hanoï. Poney Français de Selle – Etalon – 3 ans. Vif et énergique en liberté. Paresseux au travail. Aime commander. »
Suivait un portrait du poney en question. Hanoï, c’était le poney qu’elle avait elle-même choisit, parmis tous ceux de Love Dragibus. Il y en avait pour tous les goûts, mais aucun ne lui avait tapé à l’œil. C’était juste lui qu’elle avait remarqué, pour son caractère qui s’avérait être plutôt difficile. Mais Jaliska aimait ce genre de caractère. Elle l’avait donc acheté. Pour la première fois, elle allait le voir en vrai, le découvrir… La phrase avec laquelle elle avait tout de suite su qu’elle devait le prendre, c’était « Hanoï n'est pas le type de poney parfait. » Mais elle était sûre qu’il allait être parfait à ses yeux.

Jaliska posa son vélo, et se mit à déambuler dans le domaine. Elle se dirigea vers les écuries. Elle était à la fois pressée de voir son poney, mais en même temps, elle savait qu’il fallait prendre son temps. Elle entra dans les écuries, et chercha où était son protégé. Nuage du Châtimont, Pirate… Les noms inscrits sur les portes de boxes défilaient devant elle. Elle arriva au fond de l’écurie. Dans un box un peu isolé, elle vit : Hanoï. Son cœur fit un bond. Elle regarda dans le box, puis sortit son petit papier, regarda tour à tour la photo puis le poney. C’était bien lui.
« Hanoï… »
Sa voix était douce, rassurante. Dès que le poney entendit le son de sa voix, il cessa de manger sa paille, et releva la tête. Ses yeux lançaient des éclairs, et ses oreilles étaient couchées en arrière. Pourtant, Jaliska ne se sentait nullement intimidée.
« Hanoï… Je suis Jaliska, ta nouvelle propriétaire… »
Elle lui parlait doucement, comme pour le calmer. Et en effet, il abandonna son attitude désagréable et, curieux, il s’approcha de la main qu’elle lui tendait. Il prit son temps, il la sentit longuement, puis attendit. La jeune fille approcha doucement sa main de son chanfrein pour le caresser. Le Français de Selle mit ses oreilles en arrière. Elle laissa donc sa main là où elle était, et attendit. Il s’en approcha un peu. Elle lui parlait doucement, pour qu’elle ne représente pas une menace pour lui. Finalement, il se laissa caresser le chanfrein. Peu à peu, la main de Jaliska descendit vers son encolure, puis arriva sur son garrot. Hanoï frémit, méfiant, mais ne bougea pas. Elle lui gratouilla donc le garrot. Il semblait aimer cela : son encolure s’allongea, ses lèvres bougèrent. Inlassablement, elle continua à le gratouiller. Et ce, pendant un bon bout de temps. Elle était consciente que cela renforçait leur complicité. Puis, elle s’arrêta. Hanoï avait de la bave tout autour de la bouche. Il s’était bien détendu.

Jaliska ouvrit la porte du box, se mit dos au poney, et attendit, tête basse. Hanoï hésita, puis s’avança vers elle, et gratta de l’antérieur, demanda qu’elle lui regratte le garrot. La jeune fille se retourna. Il grattait toujours de l’antérieur. D’une voix ferme, elle lui dit :
« Non. »
Sans faire de gestes brusques. Hanoï la regarda, puis recommença a gratter de l’antérieur. Haussant un peu la voix, mais sans crier, et gardant toujours cette fermeté, elle lui dit :
« Hanoï, non. »
Et elle le regarda droit dans les yeux. Il n’aimait pas cela, car il avait un esprit de dominant. Il coucha ses oreilles en arrières, et montra ses dents. Dans ses yeux, elle y lisait de la fureur. Alors, elle continua à le regarder, sans cligner des yeux. Jusqu’à ce qu’il renonce, baisse son encolure…
« C’est bien… Comprends que je ne te veux aucun mal… »
Elle fit quelques pas dans son box, s’approchant du poney, tout en lui parlant doucement pour le mettre en confiance. Elle passa sa main partout sur son corps, puis, comme il ne bougeait pas, elle lui gratouilla le garrot.
Jaliska alla ensuite chercher son licol et sa longe, et la lui passa. Les oreilles en avant, Hanoï comprit qu’il allait enfin sortir. Elle se saisit de la longe, et l’emmena dehors, en direction du paddock. Le Français de Selle, essayait sans cesse de la précéder. Fermement, mettant une petite secousse incofortable sur le licol, elle lui disait d’une voix ferme.
« Ta place. »
Il se calmait, puis se remettait à trottiner. Jaliska préféra donc le faire marcher, évitant le paddock où elle comptait le lâcher, jusqu’à ce qu’il arrête de la précéder. Sa voix était ferme lorsqu’il le fallait, et douce lorsqu’il marchait sagement à sa place. Une fois qu’il fut calmé, elle l’emmena tranquillement vers le paddock, détacha la longe, et le laissa en liberté. Il partit au quart de tour dans un galop rapide, pendant qu’elle refermait la barrière. Ses membres frappaient le sol avec frénésie. Il avait un galop rapide, et effectuait des demi-tour impressionnants, quasiement sur les postérieurs.
° Il ferait un bon poney de Horse-Ball… °
Se dit-elle. Elle le laissa se défouler pendant une bonne heure, pendant laquelle elle ne détachait pas ses yeux de lui. Elle avait fait le bon choix… Puis, elle l’appela pour l’emmener au manège. Elle siffla, et l’étalon pointa ses oreilles vers elle.
« Allez, viens mon beau… »
Tranquillement, il vient vers elle. « C’est bien… » Elle lui gratouilla le garrot, et attacha sa longe.

Elle l’emmena ensuite vers le manège. Envoyant Hanoï sur un cercle au trot, elle le ramena ensuite vers elle, et ne fit rien. Puis, elle l’envoya à nouveau sur un cercle, et le re-amena vers elle. Et ce, plusieurs fois, pour lui faire comprendre que lorsqu’il était avec elle, c’était confortable, il ne devait pas trotter, ni rien. Après avoir répété plusieurs fois l’opération, elle se mit à marcher. Le poney hésita, puis la suivit. Plus elle marchait, plus elle donnait du mou à la longe… Et il continuait à la suivre, jusqu’à ce qu’elle ait la longe au bout des doigts. Elle s’arrêta. Il s’arrêta aussi, et elle lui gratouilla le garrot.
« C’est bien mon beau… »
Pour être sûre, elle recommença à l’envoyer sur un cercle au trot, et à le ramener vers elle, plusieurs fois, laissant de plus en plus de temps vers elle sans rien faire. Puis, elle lui enelva son licol. Hanoï, se sentant libre, s’apprêtait à partir comme un petit furi, quand la voix de Jaliska le ramena à la réalité.
« Hanoï… »
Il se tourna alors vers elle. Et elle se mit à marcher. Il la suivait sans rien dire. Elle le gratouillait, puis se remettait à marcher, puis à courir. Pris au jeu, l’étalon la suivait au trot, puis se mit à galoper, tout en gardant la connection avec elle.
S’amusant avec son poney pendant un temps qu’elle-même ne savait pas, Jaliska s’arrêta, et reprit son souffle. Il sourit, se mit à rire, puis repassa le licol au Français de Selle, et le ramena dans son box. Sur tout le chemin, Hanoï fut tranquille. [Je tiens à préciser que c’est une méthode éthologique, que j’ai vu qu’en 30mins, et de mes propres yeux, ça marchait.]
Elle embrassa son poney, lui donna une petite carotte, vérifia son abreuvoir, et le laissa tranquille.

Admin Messages : 284 Date d'inscription : 28/07/2007

Sublime ! C'est un exellent début Wink

Il faut continuer à bien détailler vos actions Wink

+5% en soins
+2% en dressage

Très bien ! =D

Messages : 80 Date d'inscription : 30/07/2007

Entraînement de Horse-Ball

Jaliska arriva devant le domaine de Love Dragibus. Son cœurbattait : elle avait tellement hate de revoir Hanoï ! Elle poussa la grille de fer forgé, et entra dans son petit paradis. Autour d’elle, il y avait de l’agitation, du bruit, des chevaux ! Tout ce qu’elle aimait. Aujourd’hui, elle avait décidé de voir comment était Hanoï à la monte. On lui avait déjà dit qu’il était plutôt feignant, mais elle voulait s’en convaincre.
Elle arriva en vitesse aux écuries. Rapidement, elle se dirigea vers le box de son poney adoré. Elle jeta un couop d’œil par-dessus la porte de son box, et l’appela doucement :
« Hanoï… Mon bébé… »
Il releva doucement la tête, et elle lui présenta sa main. Il s’en approcha doucement, méfiant, puis identifia son odeur. Il parut tout de suite plus calme. Elle se mit sur la pointe des pieds pour pouvoir lui gratter le garrot, puis ouvrit la porte et entra dans son box. A pas lents, elle s’en approcha, tout en lui parlant doucement, avec une voix rassurante. Il pointa légèrement ses oreilles vers l’arrière. Elle arrêta d’avancer, ne voulant pas l’effrayer, et baissa la tête. Elle attendit que ce soit lui qui vienne vers elle. Encore méfiant, il hésita, puis s’en approcha. Très lentement, elle releva la tête, et approcha sa main. Il se laissa faire, et elle lui gratouilla le garrot. Puis, elle le palpa, pour déceler une éventuelle anomalie, mais il était en pleine forme ! Elle alla donc chercher son licol, le lui passa, et le sortit de son box. Tout comme la veille, le poney essayait de la dépasser. Elle mit une petite saccade sur le licol, le reprenant immédiatement, lui disant « Ta place. » avec une voix ferme. Il la regarda, et découvrit ses dents.
« Hanoï… Je ne veux pas de ça. »
Lui dit-elle, sa voix ayant monté en fermeté. Elle le regarda droit dans les yeux. Il soupira, secoua sa tête, et les deux se remirent à marcher. Le Français de Selle ne repassant plus devant elle. La jeune fille le félicita alors, et lui gratouilla l’encolure, avant de l’attacher à un anneau. Puis, elle sortit sa caisse de pansage, et étala ses brosses par terre. Curieux, il approcha son nez de celles-ci, les sentit, les bougea avec son bout du nez, avant de s’en désinteresser. Jaliska se saisit donc du cure-pied, afin de commencer son pansage. Elle glissa doucement sa main le long de son antérieur. Hanoï leva son pied. Elle s’en saisit, mais l’étalon commença à bouger son membre, à mettre du poids vers le bas, comme pour l’obliger à lâcher prise. Le tenant fermement, elle ne se laissa pas faire. Elle avait l’habitude.
« Hanoï ! C’est quoi, ça ?! » Lui dit-elle, sans crier.
Peu à peu, il arrêta, comprenant qu’elle le tenait, et qu’elle ne lâcherait pas. Lorsqu’il finit de bouger son pied, elle le garda un court instant, puis le reposa. Elle se secoua les mains, reprit le cure-pied, et lui redemanda de lui donner. Le poney accepta, et cette fois-ci, il ne bougea pas.
« Voilà… C’est bien… »
Elle se dépêcha de lui curer son pied, et le reposa. Elle lui gratouilla l’encolure, puis passa au postérieur. Glissant sa main, Hanoï leva nerveusement son pied, et donna des coups. Jaliska manqua de lâcher prise, mais elle tient bon. « Hanoï, non. » Elle attendit qu’il arrête pour reposer son postérieur. Puis, elle le reprit. Une nouvelle fois, il décocha quelques coups, mais se calma rapidement. Elle lui cura alors le pied, et le reposa. Pour les deux autres membres, il se tenait tranquille, et semblait avoir comprit. Elle le félicita, puis passa à l’étrille. L’étalon semblait apprécier les massages que l’étrille lui procurait. Il se montra parfaitement calme, et ne manifesta aucun signe d’énervement, ou de menace. Elle lui donna un petit morceau de carotte, puis passa au bouchon. Pour l’instant, Hanoï était plutôt calme. Elle le félicita, lui passa rapidement la brosse douce. Ensuite, elle entreprit de lui démèler la crinière. Jusque là, pas de problème. Ce fut lorsqu’elle voulu lui démèler la queue que cela se corsa. Hanoï coucha les oreilles, et décocha une ruade.
« Hanoï ! NON. On fait pas ça. »
Elle recommença à lui démèler sa queue. Il bougea dans tous les sens. Impassible, elle continuait. Parfois, il mettait de petits coups de c*l, mais elle continuait, jusqu’à ce qu’il arrête. A ce moment, elle arrêta de lui démèler sa queue. Puis, elle recommença. Il se remit à bouger, mais moins qu’avant. Et lorsqu’il s’arrêtait enfin, elle s’arrêtait aussi. A force de répéter cela, il comprenait que si il bougeait pas, elle arrêtait. Au bout de quelques tentatives, elle pu enfin lui démèler la queue.
« Voilààààà… C’est bien mon cœur… »
Elle le félicita, et lui redemanda de donner ses pieds. Comme il se tenait bien sagement, elle lui donna deux morceaux de carotte pour le féliciter.
Elle alla ensuite chercher ses affaires : selle, filet et bandes de travail. Elle lui montra tout cela pour qu’il puisse le sentir, et lorsqu’il s’en désinteressa, elle posa le tout par terre. Elle posa son tapis de selle, puis son amortisseur sur le dos. Hanoï ne bougea pas. Elle lui déposa délicatement la selle sur le dos. Il fit mine de la mordre, mais Jaliska l’ignora, et le ressangla. Elle entendait les dents du poney claquer à côté d’elle. Apparemment, il s’aimait pas cela, mais elle continua à faire comme s’il ne faisait rien. Comme il s’était gonflé, elle tapota sur son ventre, et put le sangler.
Elle lui posa ses bandes de travail, et il ne dit rien. Elle lui gratouilla le garrot pour le féliciter. Puis, elle lui mit son licol en collier, et passa les rênes par-dessus son encolure. Rapidement, elle posa sa main sur son chanfrein, mais il leva brusquement la tête, et la garda en l’air.
« Hanoï, tu vas te faire mal au dos ! »
Elle l’obligea à descendre la tête, et lui mit rapidement le mors dans la bouche, et passa une oreille dans la têtière. Il n’arrêtait pas de lever la tête, alors, avec sa main sur son chanfrein, elle l’obligeait à la descendre, mais retirait sa main dès qu’il se calmait. Une fois qu’il fut un peu plus calme, elle lui ôta son filet, le laissa tranquille quelques minutes, puis lui remit. Il se tient plutôt calme. Elle le félicita, et alla chercher son casque et sa sangle de ramassage. Elle la lui mit, puis détacha son poney, et l’emmena vers la carrière.

Jaliska referma la barrière derrière elle. Tout d’un coup, hanoï n’avançait plus trop, se traînait même un peu derrière elle. Elle l’arrêta au milieu de la carrièire, se ressangla, ajusta ses rênes et se mit en selle. Elle règla ses étriers, et le ressangla une dernière fois. A sa grande surprise, le Français de Selle se tenait parfaitement calme. Elle aurait imaginé qu’il bougeait au montoir, mais non. Elle serra ses mollets pour le faire avancer. Il se mit à marcher tranquillement. Elle le poussa avec son bassin pour lui donner plus d’impulsion, et continuait à mettre des jamabes. Elle faisait des appels de langue pour le stimuler. Elle avait la direction, mais pas l’impulsion. Elle se dirigea vers le bord de la carrière, et cassa une petite branche d’un arbre, pour lui servir de cravache. Elle lui redemanda d’avancer, mettant toutes ses aides en place. Il se mit tranquillement au pas. Renforçant ses aides, elle mit un petit coup de cravache derrière sa jambe. Elle se sentit sursauter, et il se mit à avancer comme elle le désirait : avec de l’impulsion. Elle le fit bien marcher, mais devait sans cesse mettre des jambes, le pousser avec son bassin, l’encourager à la voix… Bref, c’était un autre poney qu’elle découvrait sous la selle. Une fois qu’il fut bien détendu au pas, elle le passa au trot. Hanoï s’installa dans un petit trot tranquille. La jeune fille le mit dans un vrai trot de travail. Elle vit que les oreilles de son poney se pointaient légèrement vers l’arrière. Elle rit un peu, et lui dit, amusée :
« Petit feignant, va ! Allez, bouge un peu, ça te fera du bien ! »
Et elle lui fit allonger le trot. Ca y est ! Il commençait enfin à se réveiller un peu. « Bah voilà, pépère ! » Elle fit plusieurs fois trot-arrêt. Hanoï éxécutait cela parfaitement bien. C’était plutôt sur les départs arrêt-trot qu’il se traînait. Il se mettait à marcher au pas, et passait au trot une fois sur la piste. N’aimant pas cela, Jaliska revient sur ce travail. Elle l’arrêta tranquillement, et le fit repartir au trot. Comme il ne partait pas, elle lui mit un coup de badine derrière sa jambe. Il se mit tout de suite à trotter. Elle lui gratouilla l’encolure, et l’encouragea à la voix. Il avançait bien, et semblait s’être mis au travail. Elle finit sa détente sans incidents.

La jeune fille repassa son poney au pas, rênes longues. Même si le début n’avait pas été très convainquant, elle se disait qu’il apprendrait à aimer travailler avec elle. Cela se ferait petit à petit, et il ne fallait pas brusquer les choses. Après l’avoir fait marcher, elle reprit ses rênes, et le refit trotter un peu, puis le repassa au pas. Elle lui caressa l’encolure, et plaça ses aides pour un départ au galop. Jammbe extérieur légèrement reculée, jambe intérieur à la sangle, elle ferma ses jambes, et Hanoï partit souplement au galop. Il avançait… Elle se méfia. Et en effet, il partit rapidement, la traînant dans toute la carrière. Elle lui parlait doucement pour le calmer, et le mettait sur un tout petit cercle pour le ramener dans un galop cadencé. Elle jouait dans ses mains, avec une action prendre-relâcher, afin qu’il ne puisse pas s’appuyer sur le mors. Le poney commença à en avoir assez de tourner. Il repassa au trot, et Jaliska pu le faire marcher tranquillement.
« Et bien mon bonhomme ?! »
Une fois qu’il eut reprit son souffle, elle le remit au galop. Il était bien cadencé, et peu essouflé pour ce qu’il venait de galoper ! Il devait être assez endurant alors… Elle lui fait plusieurs fois allonger le galop, et le félicita. Elle le refit trotter un peu, puis le repassa au pas. Elle le fit marcher rênes longues.

Elle se ressangla et fit un nœud à ses rênes. Elle vérifia que sa sangle de ramassage était toujours bien en place. Elle parla doucement à son poney, pendant qu’elle se levait de sa selle, et descendait doucement pour ne pas l’effrayer, et toucher le sol. Lorsqu’il sentit quelque chose d’anormal à côté de lui, Hanoï fit un écart, mais Jaliska continuait à lui parler. Il comprit que c’était elle, et se calma. Elle le félicita, et remonta, pour aller toucher le sol, mais de l’autre côté. Hanoï resta arrêté. Il semblait plus confiant à la monte… Elle le fit marcher, et descendit toucher le sol des deux côtés, et fit pareil au trot. Elle eut plus de difficulté au galop, car Hanoï avait tendance à faire des écarts. Mais elle lui parlait et le rassurait. Son 4ème ‘‘faux’’ ramassage au galop se passa bien. Elle l’emmena tranquillement au pas là où un ballon de horse-ball traînait dans la carrière et le ramassa. Elle s’amusa un peu avec, puis le lança, pour tester s’il en avait peur. C’est alors que Hanoï se cabra à moitié, ses petites oreilles pointées vers l’avant, et se mit à galoper vers le ballon. Il semblait vouloir l’attraper. Jaliska le laissa faire, et pendant que son poney galopait, se baissa et ramassa la balle. Elle le félicita bien, en lui gratouilla l’encolure, et en lui donnant un morceau de carotte.

Le comportement d’Hanoï avant subitement changé, il semblait à tout prix vouloir y aller, et ses petites oreilles étaient pointées vers l’avant. C’était complètement l’inverse d’au début de la séance ! Jaliska l’arrêta dans une largeur, plaça ses aides, et il partit dans un galop rapide de petit poulain qui veut jouer, dans tout la largeur de la carrière. La jeune fille se leva, visa le but, tira, et le ballon rentra. Elle félicita son petit étalon, qui semblait aimer le horse-ball. Elle l’amana au petit trot vers le ballon, le ramassa, puis le lança sur un côté de la carrière. Elle allait ramener le Français de Selle à l’écurie. Il avait bien travaillé. Elle le déssangla, et le laissa marcher, rênes longues. Enfin, elle descendit, continua à la faire marcher encore, pendant quelques minutes, puis se dirigea vers l’écurie.
« C’est bien Hanoï, je suis fière de toi. »
Elle le déssella, lui retira son filet, et lui apporta un petit peu d’eau. Pas de trop, car cela était mauvais pour lui sinon. Elle lui passa un coup de bouchon, et lui re-apporta de l’eau. Pendant qu’il buvait, elle lui fit un gros calin. Hanoï releva la tête du sceau, et la tourna vers elle. Il posa affectueusement son bout de nez mouillée sur la jeune fille. Elle se mit à rire.
« Hanoï !!! Mon petit bébé… »
Elle le rentra ensuite dans l’écurie, et lui posa des bandes de repos. Elle le laissa tranquille, et s’assit dans un coin de son box. Elle le regardait manger sa paille. Puis vient le moment de partir. Elle lui gratouilla longuement le garrot.
« Je suis fière de toi… »
Elle lui fit un petit bisou, et partit.

Admin Messages : 284 Date d'inscription : 28/07/2007

Tes résumés sont enormes xD ! Razz

Tu écris très bien, tes détails sont sublimes et la qualité du résumé est parfaite =)

Avec du temps, Hanoï va s'habituer et sera un poney de horse-ball parfait =D

+5 % en soins
+2 % en dressage
+3 % en horse-ball

A ce rythme là, ton poney sera le mieu entrainé Wink

Messages : 80 Date d'inscription : 30/07/2007

Mercii Shadow ! Very Happy

Entraînement de Horse-Ball

Jaliska arriva à Love Dragibus. Ce matin, elle était venue beaucoup plus tôt, car elle voulait prendre le temps de curer à fond le box de son petit poney d’amour. Elle se dirigea directement vers les écuries de propriétaires, et alla voir son petit protégé. Elle le retrouva en train de manger la paille qui lui restait. Elle s’approcha doucement, et l’appela d’une voix douce. Hanoï releva la tête, et vient vers elle. Elle ouvrit la porte, et entra dans son box. Il enfouit sa tête dans ses bras accueillants, et elle lui caressa son chanfrein, si doux… Elle lui déposa un petit bisou sur le bout du nez, et alla lui gratouiller le garrot. Se laissant faire, il soupira de contentement, descendit l’encolure, et ferma les yeux. Elle aimait voir son poney bien détendu, cela lui faisait tellement plaisir, plutôt que de le voir tout nerveux ! Elle arrêta de le gratouiller, et alla chercher son licol. Pour le Français de Selle, licol rimait avec sortiiiiiiir ! Il pointa ses petites oreilles vers l’avant, et passa presque lui-même sa tête dedans. La jeune fille sourit, et le sortit de son box. Comme les autres jours, Hanoï la bouscula pour sortir le plus vite possible.
« Héééé ! Hanoï, ta place. »
Elle mit une saccade sur le licol, ce qui le ralentit dans sa course. Elle le fixa dans les yeux. Il la regardait aussi. Ses oreilles se tournaient vers l’arrière. Mais plutôt que d’avancer, elle préféra essayer une autre technique qui marcherait peut-être. Elle le ramena alors dans son box, lui enleva le licol, referma la porte, et commença à aller chercher la brouette, la fourche, et la raclette. Elle posa tout cela dans un coin de l’écurie, puis revient vers l’étalon. Elle lui passa le licol, et le fit sortir. Même sénario : le poney la bouscula. Elle mit une petite saccade au licol, le mit à sa place, et le rentra dans son box. Jaliska attendit quelques minutes, puis rééssaya de le faire sortir dans le calme. Elle lui passa le licol, ouvrit la porte du box, le sortit son poney. Il marcha tranquillement derrière elle. Elle le félicita, lui gratouilla le garrot, et lui donna un petit morceau de carotte, qu’il avala avec délice.
« Voilà mon grand… C’est bien, ça… »
Elle l’emmena vers le pré. Lorsqu’il vit l’étendue d’herbe, Hanoï chercha à y aller le plus vite possible. Il la dépassa, et se mit à trottiner. Elle tirailla un peu sur la longe, le ramenant à l’ordre.
« Ta place. » Lui dit-elle fermement. Il repassa au pas, mais continua à la dépasser. Elle fit donc demi-tour, et le ramena sur le chemin de l’écurie. Le poney était tout penaud… Jaliska le regarda, et lui dit : « Bon… On y va encore, mais dans le calme. » Elle le ramena en direction des prés. Hanoï pointa ses oreilles en avant, et manifesta des signes d’impatience, mais resta à sa place, ayant bien comprit que s’il bougeait, il retournerait à l’écurie… La jeune fille le félicita, lui gratouilla rapidement le garrot, et entra dans le pré. Elle lui défit son licol, et il partit au galop, s’ébrouant, faisant de joyeux sauts de mouton. Elle regarda son poney s’ébattre en liberté, puis referma la porte. Qu’il était beau, quand même, son futur champion ^^ … Elle retourna ensuite vers l’écurie, et commença à curer son box à fond. Elle retira tout le fumier, le mit dans la brouette, puis racla le sol avec la raclette. Lorsque le box fut entièrement vide, elle y mit du désinfectant spécial, avant d’aller chercher de la paille, et d’en garnir bien le box. Lorsqu’elle eut finit, elle rangea le tout, et s’assit un moment, mais elle se releva vite pour aller chercher son Français de Selle du pré. Elle arriva devant la barrière, et le regarda brouter son herbe. Elle siffla pour attirer son attention. Il releva la tête, et la regarda, ses petites oreilles pointées vers l’avant.
« Allez Hanoï, vient ! »
Sans se déranger, il arriva tranquillement près de la barrière dans un pas lent. Jaliska sourit en le voyant arriver, mais elle savait ce qui l’attendait : elle devrait lui faire prendre une bonne douche ! Il avait du se rouler dans des endroits boueux, et comme il était gris, ce serait impossible de lui faire partir toutes ces taches ! Comme il faisait beau et chaud, cela lui permettrait de voir comment il réagirait à la douche, et ce n’était pas plus mal… Elle passa le licol au poney, puis le ramena vers le chemin de l’écurie. Elle le mit à l’attache, et lui passa un coup d’étrille américaine, ainsi que le bouchon, et lui cura les pieds. Elle l’inspecta, au cas où il aurait d’éventuelles blessures, ou encore des hôtes indésirables… Et en effet, elle repéra une tique.
« Doucement mon beau, ne bouge pas, je vais te la retirer… »
Elle farfouilla dans sa malette de pansage, et en sortit la pince spéciale. Habilement, elle la-lui retira. La tête était bien venue avec. Tant mieux ! Elle écrasa l’insecte, puis se lava bien les mains, et désinfecta au cas où la tique était porteuse d’une maladie. Elle se rappela aussi qu’il fallait qu’elle prenne rendez-vous chez le vétérinaire pour mettre ses vaccins à jour… Elle le détacha, et le mit à la douche, où un dispositif avec une longe anti-renard était en place. Elle lui mit donc cette longe, et alluma le jet sans mettre trop de pression pour le moment. Hanoï, amusé, regarda l’eau sortir du tuyau. Il avança sa tête, et essaya de boire au jet. La jeune fille avança donc le jet vers lui, et il bu, jouant de temps en temps avec l’eau avec ses lèvres. Elle mit donc plus de pression, et commença par lui doucher les membres, en y allant doucement. Il frémit en sentant quelquechose de froid lui arriver dessus, mais ne bougea pas. Il regarda ce que c’était, et revit l’eau. Il gratta de l’antérieur, comme si c’était pour jouer ! En effet, ce n’était pas de la défense, car elle voyait dans ses yeux un air de malice passer. Une fois que ses jambes furent mouillées, elle lui mouilla doucement le ventre, le poitrail, l’encolure… Elle remontait petit à petit. Mais ce n’était pas une mince affaire, car Hanoï voulait sans cesse jouer avec l’eau ! Alors, il bougeait dans tous les sens, essayant d’en attraper… Mais elle ne pouvait pas lui en vouloir, si il s’amusait, alors autant le laisser jouer, du moment qu’il ne faisait pas de mouvements trop brusques. Elle lui passa donc le jet sur tout le corps, et alla chercher du shampooing dans la sellerie. Elle le shampooina bien, insista sur les taches de boue marron, qui lui donnaient une mine de cheval dont plus personne ne s’en occupait. Elle le massa bien, ce qui faisait qu’il appréciait. Super ! Elle aurait donc des facilités pour le doucher. Ensuite, elle le rinça bien. Elle eut un peu plus de mal, car le poney cherchait sans cesse à attraper l’eau. Elle devait donc régulièrement mettre le jet vers lui, avant de continuer à lui faire partir tout le shampooing. Une fois rincé, il brilla comme un sou neuf ! Elle prit dans sa malette un couteau de chaleur ainsi qu’une serviette bien sèche. Elle lui passa le couteau de chaleur sur le corps, et essuiya ses membres avec la serviette, insista bien sur les paturons pour qu’il n’ait pas d’atteintes. Elle l’emmena ensuite brouter en attendant qu’il sèche. Elle s’assit dans l’herbe, tenant toujours la longe, et le regarda brouter. Lorsqu’il fut sec, elle le ramena au box pour le laisser tranquille.

Un peu plus tard, Jaliska revient voir son poney. Elle lui passa le licol, et ouvrit la porte du box pour le panser. Tout content de sortir, Hanoï la bouscula. Elle mit une saccade au licol et le ramena dans son box. Elle commançait à se demander si elle arriverait un jour à le sortir tranquillement. Quelques minutes après, elle le sortit à nouveau. Il sortit calmement, restant bien à sa place.
« Voilà… C’est très bien… »
Elle lui gratouilla le garrot, puis le pansa rapidement. Elle lui démèla la crinière, puis mit un peu de démèlant sur sa queue. Elle savait qu’il n’aimait pas cela. Il la regarda, mit ses oreilles en arrière, et tenta de la botter. Heureusement, elle était un le côté, et il ne pouvait pas l’atteindre. Elle démèla rapidement la queue pour ne pas l’énerver, et le laissa tranquille… Une fois qu’il eut finit d’essayer de la blesser. Elle alla ensuite chercher ses affaires. Elle lui posa ses bandes de travail, lui mit son tapis de selle, son amortisseur, et déposa la selle sur son dos. Comme la veille, il fit mine de la mordre. Elle entendait ses dents claquer. Elle ignora ce qu’il faisait, car elle savait qu’il agissait ainsi pour m’intimider, et qu’il ne la mordrait pas. Elle lui mit ensuite son filet. Lorsqu’il le vit, il releva la tête avant même qu’elle ait eut le temps de lui attraper la tête. Elle le calma à la voix, et posa sa main sur son chanfrein. Tout en lui parlant pour le rassurer, elle lui introduit avec délicatesse le mors dans sa bouche, et passa rapidement la têtière dans ses oreilles. Comme il n’avait pas trop bougé, elle le félicita, et lui fit des gratouilles sur l’encolure. Il aimait peut-être moins que le garrot, mais il appréciait quand même… Elle alla chercher sa sangle de ramassage ainsi que son casque, et elle l’emmena vers la carrière.

Jaliska referma soigneusement la porte derrière elle, et l’emmena vers le centre de la carrière. Traînant derrière elle, Hanoï avançait tranquillement.
« Allez, mon gros patapouf que j’aime ! Motive-toi un peu ! »
Elle ressangla, et monta. Elle raccourcis un peu ses étriers, et se ressangla une dernière fois.
« Go mon bébé !!! »
Elle referma ses jambes, et engagea son bassin pour le faire marcher activement… Enfin, du moins, elle essayait, car l’étalon se traînait. Comme l’autre fois, elle cassa une petite branche, et mit un coup derrière sa jambe. Il sursauta un peu, et se mit à marcher. Elle fit une bonne détente au pas, avec beaucoup d’arrêts et de départs pour qu’il réponde bien aux jambes. Elle le mit ensuite au trot, et le fit trotter partout, l’encourageant avec des appels de langues, elle lui demanda d’allonger le trot.
« Hanoï… Trotter !!! » Il avança un peu plus, mais elle devait vraiment forcer, mettre beaucoup de jambes, et temps en temps, mettre un petit coup de sa cravache d’infortune derrière sa jambe. En tout cas, elle le trouvait très confortable au trot assis ! Elle parvient enfin à l’allongement désiré.
« Hé, pépère, à ce rythme là, je n’aurai bientôt plus de force dans les jambes pour marcher ! »
Et elle se mit à rire. Avec le temps, elle s’habituerait. Elle le repassa au pas, et le fit marcher rênes longues.
Elle fit un nœud à ses rênes, les lâcha, et exécuta des rotations avec son buste, comme si elle lançait un ballon de horse-ball. Elle fit ensuite quelques ramassages. Là, elle n’eut plus besoin de sans cesse encourager Hanoï. Comme s’il avait comprit, il se mit à trotter dans l’impulsion, avec dynamisme. Elle le félicita, et le fit trotter à l’autre main. Pareil, elle fit des rotations avec son buste, et s’entraîna sur des ramassages, avant de le repasser au pas. L’étalon était tout vif, aux aguets. Il cherchait sans doute la balle du regard… Amusée, elle rit, et le repassa au pas pour le faire galoper tranquillement. Elle plaça ses aides, et ferma ses jambes. Le Français de Selle réagit au quart de tour, et fit un départ… Survolté ! Elle ne s’y attendait pas, et ses doigts s’aggripèrent à là crinière. Ayant retrouvée sa stabilité, elle joua dans ses mains pour le ralentir.
« Oh oh… Lààà… Dooouuucement… »
Elle se grandit bien, et il ralentit. Elle ne put s’empêcher de sourire. Une fois le retour au calme de fait, elle le fit marcher pour qu’il reprenne son souffle. Ensuite, elle redemanda le départ, plus vigilante. Il l’effectua dans le calma. Elle lui caressa l’encolure, et continua à le faire galoper. Elle lui demanda d’allonger le galop, puis le repit dans un galop de travail, et fit une diagonale. En X, elle lui demanda de changer de pied. Sous la selle, elle sentit qu’il ne comprenait pas très bien ce qu’elle lui demandait, et ses pieds se posaient un peu au hasard. Il cafouilla, mais réussit à changer de pied. Ce n’était pas bien grave, il n’avait que trois ans, et cela se comprenait s’il ne savait pas encore bien faire du dressage, mais au moins, il aurait essayé.
« C’est pas mal quand même, mon bébé… »
Elle le fit galoper à l’autre main, et le repassa au pas, rênes longues. Pendant qu’il marchait partout dans la carrière, elle s’entraînait à faire des ramassages, à droite et à gauche. Elle fit pareil au trot, puis au galop. Elle était contente de voir que son poney était déjà un peu plus attentif à ses demandes. Elle alla vers un bord de la carrière au trot, et ramassa le ballon de horse-ball qui traînait par là. Elle joua un peu avec, puis le lança au-dessus de la tête d’Hanoï. Ses oreilles se pointèrent vers la balle, et il chercha à accelérer. Elle ferma ses jambes, et il partit au galop. Elle le fit passer à côté du ballon, et le ramassa au passage. Arrivé au bout de la carrière, elle le fit tourner, et reparti dans l’autre sens. Elle fut très surprise par son demi-tour, effectué quasiement sur les postérieurs. Pendant qu’il galopait, elle lui grattouilla rapidement l’encolure, et le dirigea vers le but. Elle se leva de sa selle, et tira. Le ballon rentra dans le but. Elle le repassa ensuite, au trot, et ramassa la balle tranquillement. Elle le fit marcher au pas, et défit le nœud de ses rênes pour qu’il puisse tirer son dos. Elle le fit bien marcher pour qu’il récupère. Elle ne voulait pas l’épuiser.
Un peu après, elle remonta sur ses rênes, refit un nœud, et le mit au trot, puis au galop. Elle travailla sur les ramassages au galop, puis alla tirer au but plusieurs fois. Elle aimait lorsqu’il répondait bien à ses demandes. Aussi, elle préféra ne pas trop lui en demander, et rester sur quelquechose de bien. Elle le déssangla, défit le nœud, et descendit. Elle remonta ses étriers, et le fit marcher à pied, tranquillement. Elle lui donna un carotte coupée en morceaux, bien fraîche, qu’il savoura avec délice. Elle lui gartouilla l’encolure, dessangla une nouvelle fois, continua à le faire marcher un moment, puis le ramena vers l’écurie.

Elle le déssella, et lui retira son filet. Comme il avait beaucoup transpiré, elle le bouchonna avec de la paille, et lui cura les pieds. Elle lui retira ses bandes de travail, et l’emmena à la douche. Tout content d’y aller, Hanoï se montra plein d’entrain. Elle le fit d’abord boire au jet, puis lui doucha les membres uniquement. Elle les lui sécha bien, et le rentra dans son box. Elle s’assit dans un coin, et le reagrda. Il approcha sa tête vers elle. Elle lui fit un gros calin, et il soupira de contentement. Elle l’aimait, son poney…
« Je t’aime mon ange… »
Elle lui gratouilla le garrot, lui fit un gros bisou, et partie.

Admin Messages : 284 Date d'inscription : 28/07/2007

Très bon entrainement Wink

+6 % en soins
+3 % en horse ball

Continue ainsi Wink